[Fiction, Tokio Hotel] My last whim : Diary of your whore. (Prologue / 6)

Donc, Voici ma première vrai fiction sur Tokio Hotel.

J'avertie les gens que c'est un twincest et que par conséquent il y aura du Sexe!

Donc si ça vous choque, si vous avez pas l'âge ou pas encore de pulsions vous pouvez lire quelque chose d'autre xD

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La fiction comporte 5 chapitres et le prologue pour le moment, je les posterais au fur et à mesure

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Au début, je pensais que ce n'était qu'une nouvelle fantaisie, un besoin d'aller plus loin, tester nos propres limites pour voir jusqu'où nous étions prêts à aller. C'était, en fait, beaucoup de provocation, on s'allumait mutuellement, choisissant toujours les endroits les plus incongrus. Au restaurant, par exemple, surtout quand nous n'étions pas seuls, c'étais ce qui nous excitais le plus, le danger, la provocation, jusqu'où pourrions nous nous rendre avant que les autres remarquent à quel point nous avions envie l'un de l'autre.
Car oui, nous en avions envie, terriblement, jusqu'à en avoir mal. C'étais déplacé, c'étais malsain et à quelque part, je crois que c'étais ça qui nous attirais le plus.

Le danger d'être découvert, celui de choquer, de perdre tout ce que nous avions construit. C'étais un pari risqué mais ce n'étais pas notre premier, ni notre dernier.

N'empêche que sentir ses mains se glisser subtilement sur mon corps me faisais frémir, c'étais insensé et si foutrement bon à la fois. Bien évidemment, je ne le laissais pas faire sans riposter, faisant également jouer mes mains, mes pieds, mes jambes, chaque parcelle de mon corps pouvant accéder à lui sans que cela ne paraisse au yeux des autres. On ne se lassait pas de ce nouveau jeu que nous avions découvert, c'étais chaud, c'étais interdit, c'étais l'extase. Je jouais avec son corps et lui de même, jusqu'à ce qu'il y ai inévitablement un perdant, au limite de son endurance qui quitte le jeu pour aller s'enfermer dans un endroit discret et enfin se soulager, seul.

Mais bon, nous étions presque toujours à égalité, notre gémellité y étant peut-être pour quelque chose qui sait? Ou peut-être bien qu'avec le temps nous connaissions trop bien le corps de l'autre ainsi que les moyens de le faire frémir?

D'ailleurs, cela faisait bien rire nos compagnons qui nous charriaient avec des allusions douteuses de leur cru, en nous voyant régulièrement les quitter précipitamment pour aller s'enfermer chacun dans nos chambres. Les pauvres, si seulement ils savaient qu'ils n'étaient pas si loin de la vérité, serait-ils choqué ? Probablement...

Malgré ce que nous faisions ensemble, il ne se passait jamais rien de bien concret. Nous nous contentions de jouer avec le feu de l'autre sans pourtant s'y consumer totalement.

Mais après avoir goûté à cette chaleur, qui ne désireraient pas s'y plonger pleinement?

Pas nous malheureusement, que voulez-vous, malgré tout ce qui nous unis et tout ce qui nous sépare, nous ne sommes que des hommes...

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Donc voici mon petit prologue Vos avis?

» [OS, Tokio Hotel] Chronique d'une groupie.
» [Fiction, Cinema Bizarre] Stupeur, Déni et Voyeurisme [Chap. 1/6]